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Alain Coulon, artiste-peintre-auteur    06 62 68 06 54    alaing.coulon@orange.fr

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Artiste peintre, mais pas que...

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Con...finement mes questions 10

01/05/2020

Con...finement mes questions 10

Vendredi Premier Mai

 

 

Depuis le début de ce confinement des voix s'élèvent pour demander des réponses alternatives ou complémentaires au confinement.

En effet, et si le peuple dans sa grande majorité respecte l'interdiction de sortie, et l'injonction , « Restez chez vous », des inconscients bravent l'interdit, mais dans les deux cas demandent que faire pour lutter contre le « virus » .

On a bien compris que le confinement était le choix fait par nos dirigeants. Pour quoi faire ?

Se soigner, ? Non!!!

Attendre pour éviter de charger des équipes médicales et des services de Réanimation en nombre insuffisants pour accueillir le nombre des contaminés potentiels.

Alors on remplit des Ausweiss pour aller faire ses courses, son travail pour ceux qui doivent travailler pour le bien public, sortir le chien, jeter des cacahuètes à nos vieillards chenus(plus de soixante dix ans), et on demande à nos forces de l'ordre de faire respecter les consignes.

900 000 Procès verbaux ont étés dressés par les forces de l'ordre.

 

Ce qui revient à dire que pour garantir la sécurité des français on est passé d'une politique de prévention,( pendant une journée), à une politique de répression. 135 € l'amende, c'est du bon boulot.

Il faut dire que nos forces de l'ordre mises à contribution chaque Week End,depuis Novembre 2018 ont l'habitude de casser du réfractaire...

C''est bien sur plus facile avec de dangereux gauchistes âgés qui profitant de leur autorisation de sortie, parlent à leur voisin(à Domfront par exemple), ou encore à ce fils allant voir son père mourant sur l’île de Ré, qu' un zélé gendarme ou policier, a forcé à faire demi tour, ne voulant rien savoir du décès qui est intervenu quelques heures plus tard.

Alors bien sur dans nos villages, villes de province, nous avons cette chance de pouvoir prendre un peu l'air. Même si le temps peut sembler long.

Alors bien sur , dans les grandes villes du nord et de l'est le danger, plus grand mérite sans doute que le confinement soit respecté, plus drastiquement. Alors bien sur que le confinement à deux dans 100m2 est supportable, mais quand est il quand on vit en banlieue à 4 dans 80m2 avec 2 enfants ?

 

Bref toute cette histoire aurait méritée pour le moins de vrais explications, d'expliquer aux Français ce qui se passait vraiment, et non de les prendre pour des « imbéciles » tout juste bon à obéir.

Pas des chiffres, des graphiques à la méthode Salomon, ou statistiques termes techniques nationaux internationaux , donnent le tournis, sans apporter aucune information.

Non, une explication.

Réelle, sincère, ni alarmiste, ni rassurante. Honnête, Sincère.

De celle qui disent, et qui expliquent, que l'on ne sait pas, pas encore.

Que l'on Confine par prudence, parce qu'on ne sait pas.

Parce qu'on s'est trompé..

Que bien sur pour sortir,le port des masques , (même en tissus )serait un plus, mais qu'on n'en a pas, parce que dans les plans d'austérité, qui se sont succédé les masques n'étaient prioritaires, dans les budgets de la santé publique.

Qu'effectivement les hôpitaux ont étés touchés par ces plans d'austérité qui ont permis, de faire des économies, en fermant des lits et diminuant le personnel soignant, sur le quel on enverra les forces de l'ordre en fin d'année 2019,(avant de le faire applaudir maintenant à 20 heures) , provoquant aussi la démission de 1000 chefs de service, en début d'année.

Que si on trouve que les masques ne sont pas obligatoires c'est que l'on en a pas., et non comme le dit la bien prénommée Sybeth,, c'est qu'on ne sait pas les mettre.

Que bien sur c'est dommage, mais qu'au pire on peu en fabriquer, que ce sera mieux que rien...

Que bien sur si on avait des tests, on pourrait respecter les consignes de l'OMS, (tester, tester, tester,) on pourrait peut être comme l'Allemagne, limiter, le développement de la pandémie, ou ne rêvons pas sur ce chiffre, avoir 0 morts au Vietnam qui a pourtant avoir une frontière avec la Chine.

( ce chiffre est évidemment sujet à contestation, mais les autres chiffres aussi, non?).

Bien sur qu'au lieu de polémiquer à journée faite sur les chaînes de télévision, on pourrait expliquer, que des vaccins coûtants forts chers étant à l'étude, on ne souhaitait pas donner trop d'importance aux travaux du professeur Raoult, insulté par l'ex Dany le Rouge, le 29 Mars sur LCI.

Bien sur on aurait put à l'instar de tous les pays qui s'en sortent le mieux(Allemagne, Portugal, Vietnam) fermer immédiatement les Frontières nationales, et non s'en remettre aux frontières de l'Europe, et expliquer, qu'une frontière, ce n'est pas une déclaration de guerre,que se sont les hommes qui décident des guerres.

On aurait pu, mais voyez comme je suis utopiste, expliquer que les frontières que l'on a mis autour de nos maisons avec le confinement, sont les frontières que l'on a pas mis autour de notre Pays.

Mais pour cela il aurait fallu que nos dirigeants ne soient pas bloqués par une vision Européiste de leur mission.

Que non, nous ne sommes pas coupables, et donc punissables et traités comme des gamins irresponsables.

Je crois sincèrement que si ces explications avaient été données, la confiance aurait put être restaurée.

Je ne suis pas un scientifique et ne connais rien, ni aux virus, ni aux maladies, ni aux vaccins, ni aux protocoles,ni aux médicaments etc..

mais j'ai besoin, d'avoir confiance en mon médecin comme en mon garagiste.

 

Force est de constater, que le spectacle qu'à offert le monde scientifique lors de cet épisode est affligeant, et n'incite pas à la confiance .

Le gouvernement pour masquer son incapacité à décider c'est appuyé sur les avis d'experts, qui selon les besoins disaient une chose et son contraire.

La crise entre le Professeur Raoult et les infectiologues opposés à son traitement est symptomatique de ce que sont les « Spécialistes ».

Vous trouverez toujours un expert pour contredire un autre expert.

Cela fait peur d'ailleurs. Que l'on puisse demander leur avis à des gens qui vous expliquent aujourd'hui, pourquoi et comment ils se sont trompés hier..  Les tribunaux ont ils recours à ces mêmes experts ?

 

Alors que nous arrivons à la fin d'une période(le 11 Mais?) le gouvernement commence à nous préparer à une éventuelle deuxième vague.

 

Bien sur. Tant que l'on était enfermé, on évitait de se contaminer. Ce qui fait qu'aujourd'hui on explique qu'un nombre insuffisant de personnes ayant été touché, ils ne sont de fait immunisés...et donc..que risque il y a.

Voilà, Voilà.

 

Donc peut être on va nous dé confiner maison par maison?

NON JE BLAGUE !!!

Allez à Demain ?

 

Con..finement, mes questions 9

30/04/2020

Con..finement, mes questions 9

30 Avril 2020

 

La réforme des retraites

 

Avec la publication de l'ordonnance du 19 octobre 1945, les cotisations versées par les actifs devaient désormais servir à payer immédiatement les pensions de retraite, tout en créant des droits pour leur future retraite. Le régime par répartition est né et l'âge légal de départ en retraite a été reporté à 65 ans.

 

Le gouvernement Philippe vise à refondre en profondeur le Système de retraite français, pour respecter un point de campagne du candidat Macron. Inscrit pour partie dans le programme électoral du président de la République La réforme des retraites de 2020 en France est un projet de loi porté par le , Emmanuel Macron, avec la promesse de ne toucher ni à l'âge de départ ni au montant des pensions, ce projet de réforme propose trois transformations principales : l'institution d'un régime de retraite dit « universel » remplaçant les 42 systèmes existants ; la mise en relation directe théorique du montant de la retraite avec les cotisations versées (système à points) ; la mise en place de mesures ayant pour but affiché d'améliorer les retraites des plus défavorisés s'ils font une carrière complète.



Les objectifs annoncés de la réforme sont de simplifier un système complexe, de le rendre plus juste et de faciliter son adaptation aux changements structurels

Les conséquences sont entre autres une exonération de cotisations selon des plafonds pour les très gros salaires, privant les caisses de retraites de 4 milliards d'euros par an.

La réforme rencontre une forte opposition de la part des principaux syndicats et des corps professionnels les plus touchés par son application. La contestation porte principalement sur le report de l'âge de départ à la retraite à taux plein (64 ans au lieu de 62 ans), la remise en cause des avantages des fonctionnaires et des adhérents des régimes spéciaux, et l'instauration d'un système à points jugé inégalitaire.

Les négociations entreprises avec maintes catégories professionnelles (policiers, personnel navigants, etc.) mettent à jour les ambiguïtés du terme universel revendiqué par la réforme.

En effet, dans ce cas s'il indique que le nouveau régime s'applique à tous, cela n'implique pas que tous soient soumis aux mêmes règles. Dans un avis, le Conseil d'État préfère parler d'un système universel de retraite par points composés de régimes différenciés.

 

La contestation à cette réforme rencontre un fort soutien dans l'opinion, si l'on en croit les sondages.

Près de sept Français sur dix soutiennent le mouvement de grève initié le 5 décembre contre la réforme des retraites, selon le baromètre Harris Interactive publié jeudi sur RTL, et 70% se disent inquiets de la mise en œuvre d'un système universel à points.

Autant dire que le gouvernement a du mal à faire passer l'idée d'une réforme "répondant aux attentes profondes de nos concitoyens en termes d'équité, de justice, de simplification, de lisibilité, de solidité et de solidarité", comme écrit dans le rapport rendu en juillet par le Haut commissaire aux retraites Jean-Paul Delevoye. Pourquoi ça bloque ? Eléments de réponse.

 Une réforme aux contours encore flous

de larges incertitudes entourent encore le projet de réforme des retraites, même si les principes généraux sont connus.



 

Mais qu'en est-il des modalités de transition vers le système unique ? De la prise en compte de la pénibilité ? Des mécanismes de solidarité ? Faudra-t-il travailler plus longtemps ?

Une inquiétude dans le public et dans le privé

A la RATP comme à la SNCF, le sentiment domine que le contrat de départ (lourdes contraintes contre départ anticipé) n'est pas respecté. A la SNCF, le malaise est accentué par les multiples réorganisations en cours pour préparer le début de la mise en concurence et par l'arrêt du recrutement des agents au statut "cheminot" en 2020. Même motivation chez les enseignants, massivement mobilisés: de l'aveu même du haut-commissaire aux Retraites, ils font partie des perdants de la réforme si celle-ci ne s'accompagne pas de revalorisations salariales. 

Bien que moins voyantes, les appréhensions sont également tangibles chez les salariés du privé. Beaucoup, notamment parmi les cadres, craignent d'y laisser des plumes avec une pension basée sur l'ensemble de la carrière et non plus sur les 25 meilleures années. "Le projet est de casser définitivement cette partie du modèle social français qui est la retraite par répartition", assène le président du syndicat des cadres CFE-CGC, François Hommeril, dans une interview au vitriol publiée dans la Tribune.



Des soutiens disparates.

 

En face de ce front temporairement uni, les soutiens à la réforme apparaissent plus disparates. Parmi eux, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT devenu en 2018 premier syndicat de France. Le 24 novembre, il a rappelé sur France inter qu'il était favorable à une réforme "universelle" des retraites si "on a des mesures de pénibilité, de compensations pour les carrières hachées, pour les femmes". Les bas salaires, où les femmes sont sur-représentées, devraient ainsi toucher une pension minimale de 1 000 euros (au lieu de 980 actuellement), s'ils ont accumulé 165 trimestres.  

Mardi 3 décembre, la patronne de la FNSEA, Christiane Lambert, s'est félicitée haut et fort de cette mesure. A l'issue d'un entretien avec le Premier ministre, elle a fait savoir que les agriculteurs ne se joindraient pas au mouvement social du jeudi 5 décembre.

Une attitude de l'exécutif peu lisible 

Les valses-hésitations de l'exécutif ont déboussolé jusqu'aux syndicats les plus conciliants. Ainsi en est-il de la "clause du grand-père". Le 28 octobre, Emmanuel Macron a paru ouvert à cette disposition : la réforme ne s'appliquerait qu'aux nouveaux entrants sur le marché du travail, au moins pour les régimes spéciaux. Mais le 6 novembre, Jean-Paul Delevoye s'insurgeait publiquement contre cette concession, suivi, deux semaines plus tard, par le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin.

Le 22 novembre, à une dizaine de jours de la grève, les syndicats ne notaient aucune avancée dans la concertation. "Le processus tel qu'il est mis en place semble donner raison aux contestataires. L'exécutif souffle sur les braises", avait alors déclaré à franceinfo Robert Dillensseger, de l'Unsa ferroviaire

Le pendule est-il reparti dans l'autre sens ? Le 27 novembre, Edouard Philippe semblait prêt à des compromis. "S'il faut que la réforme s'applique à des personnes un peu plus éloignées de la retraite que ce qui était envisagé jusqu'ici [à savoir à partir de 2025, pour les salariés nés au plus tôt en 1963], je suis prêt à en discuter avec les organisations syndicales", a-t-il déclaré.

Des tentatives tardives de déminage

Semblant prendre conscience de l'ampleur de la colère juste avant la grève, le gouvernement s'est efforcé de déminer le conflit.

La menace de mesures "paramétriques"

Dernière étincelle sur ce sujet inflammable : le rapport publié jeudi 21 novembre par le Conseil d'orientation des retraites. Selon ce texte commandé par le gouvernement, le déficit du système de retraites actuel devrait atteindre entre 7,9 et 17,2 milliards d'euros en 2025. Au nom de l'équilibre budgétaire, l'exécutif pourrait annoncer des mesures rapides pour pallier ce déficit annoncé des caisses de retraite à l'horizon 2025.  l'un des rares soutiens syndicaux à la réforme des retraites, Laurent Berger. "S'il y a le moindre élément de réforme paramétrique [mesure d'âge, allongement de la durée de cotisation], la CFDT se mobilisera", a-t-il dit à Paris Match. Pour le leader de la CFDT, il s'agit d'une "ligne rouge".

Réforme des retraites : le gouvernement active le 49.3, deux motions de censure sont déposées





L’exécutif aura pris tout le monde par surprise. Le conseil des ministres exceptionnel convoqué, samedi 29 février, pour traiter de l’épidémie de coronavirus a donc aussi été l’occasion pour le gouvernement de décider discrètement de l’activation de l’article 49.3 de la Constitution pour faire passer sans vote la réforme des retraites à l’Assemblée nationale. Le premier ministre, Edouard Philippe, est arrivé peu après 17 heures au Palais-Bourbon pour en faire l’annonce aux députés.

Les rares membres de l’opposition présents, eux, ont hué le chef du gouvernement. « C’est honteux ! », ont tonné les députés La France insoumise (LFI) François Ruffin et Ugo Bernalicis.

Un nouveau texte « enrichi » de 300 amendements

Ce recours au 49.3 en catimini un samedi après-midi est justifié au sein de l’exécutif par la suspension à venir des travaux de l’Assemblée nationale, le 6 mars, le temps de la campagne des élections municipales des 15 et 22 mars. Manière aussi, dit-on, de laisser le temps la semaine prochaine à l’examen du projet de loi organique sur cette réforme des retraites, qui ne comporte pour sa part que cinq articles.







« Après plus de cent quinze heures de débat en séance publique, l’Assemblée nationale en est arrivée à l’examen de l’article 8 », a constaté M. Philippe, dénonçant une « stratégie d’obstruction délibérée de la part d’une minorité ». « Je n’ai pas le sentiment que notre démocratie puisse se payer le luxe d’un tel spectacle », a-t-il estimé, se montrant désireux de « mettre fin à cet épisode de non-débat ».





Lire aussi Retraites : l’article 7 de la réforme, qui intègre les régimes spéciaux au système « universel », voté par les députés

Mis sous pression par l’Elysée ces derniers jours pour aller vite, Edouard Philippe a donc consenti à activer cet instrument qui marque au fer rouge ceux qui l’utilisent.



« Déni de démocratie »

Dans cette situation, les députés ont 24 heures pour déposer une motion de censure qui doit être débattue dans les 48 heures suivantes. Si la motion est adoptée, le texte est rejeté et le gouvernement renversé. Dans le cas contraire, le texte passe sans vote à l’Assemblée.

 

« C’est un passage en force et un déni de démocratie sans précédent sur une réforme des retraites », explique Damien Abad, député de l’Ain et patron du groupe LR à l’Assemblée. Samedi soir, Les Républicains ont également annoncé le dépôt d’une motion de censure, distincte de celle de la gauche. Bien que des désaccords sur le fond persistent, LFI a fait savoir qu’il voterait cette motion de censure. « On votera toutes les censures, comme toutes les motions de rejet. »

« Chacun connaît maintenant le cynisme du gouvernement, qui se sert de l’aggravation de la crise du coronavirus en le précédant d’une interdiction de rassemblement de plus 5 000 personnes. C’est à se demander si c’est pour protéger les Français ou empêcher les manifestations, a pour sa part réagi la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen.





L'opinion toujours opposée à la réforme. Si la grève commencée le 5 décembre dernier contre la réforme des retraites s'est essoufflée cette semaine, notamment dans les transports, plus de six Français sur dix estiment que le chef de l'État devrait entendre la contestation. Selon un sondage Elabe publié mercredi 22 janvier, 61 % des Français estiment que le chef de l'État devrait retirer sa réforme, une opinion en hausse de quatre points en un mois.



Dans cette étude réalisée pour BFM TV, l'action du président de la République est jugée « satisfaisante » par 14 % des personnes interrogées , tandis que 62 % qu'elle est « décevante » (+7 points).

Emmanuel Macron, « arrogant » et « autoritaire » pour 70 % des Français

Le chef de l'État est très majoritairement jugé « autoritaire » (72 %, + 1 point), « arrogant » (70 %, + 3 points) et inquiétant (64 %, + 7 points). Pour 42 % des sondés, il est « capable de réformer le pays » (+ 2 points), mais n'est « sympathique » que pour 35 % (- 4 points) et « sincère » pour 31 % (- 2 points). Seuls 31 % estiment qu'il « obtient des résultats » (- 5 points), 22 % qu'il « comprend les gens comme vous » (- 1 point) et 19 % qu'il est « capable de rassembler les Français » (- 3 points).



C'est donc dans cet état de méfiance( c'est un euphémisme que le Président Macron, déclare la guerre sanitaire et espère l'union nationale, et pour se faire il annonce.

Réforme des retraites suspendue, nouveau calcul de l’indemnisation de l’assurance chômage repoussée à septembre sans oublier un projet de loi de finances rectificatif qui prévoit 45 milliards d’aides aux entreprises. La crise du coronavirus rebat les cartes du calendrier social du gouvernement.

 

« Toute l’action du gouvernement et du Parlement doit être désormais tournée vers le combat », contre le coronavirus. Affirme Mr Macron lors de sa deuxième allocution télévisée.

 

 

Alors que pour faire la guerre, il faut être unis, et que la victoire repose sur la confiance que l'on accorde à ses dirigeants, pour mener le combat,une large partie du peuple Français n'a plus confiance ni en Macron ni en son gouvernement, jugeant à tors ou à raison, qu'ils sont responsables,de deux années de quasi guerre civile.



Voilà demain 1er Mai 2020,j'essaierai de raconter les péripéties médicales, masques, tests, traitements possibles guerre d'égo des médecins entre eux. Samedi la gestion des manques, et Dimanche j'évoquerai les possibles raisons qui selon moi et après ce feuilleton d'une dizaine de jour , me semblent avoir précédé ce Confinement.















Con..finement, mes questions 8

28/04/2020

Con..finement, mes questions 8

 

 

CHAPITRE Quatre 

 

Dans quel état est la France quand arrive le confinement ?

 

 

 

Mardi 28 Avril2020

 

Amis confinés Bonjour.

C'est le jour, c'est le moment, dans quelques heures le premier de nos ministre va nous expliquer, comment, quand, qui pourra sortir du piège dans lequel la France (et les français) sont tombés.

Que dira t il ? Je n'en sais rien.

Les toujours bien informés, semblent avoir des pistes.

En attendant d'être démenti par ces les paroles du pouvoir, je vais continuer mes investigations, toujours dans le même esprit,

 

COMPRENDRE. Pas juger... COMPRENDRE.

 

Hier soir je me posais des questions auxquelles je me proposais de répondre d'une façon Subjective...

Je dis bien subjective.Je ne sais pas tout(mais qui le sais) et je ne viens pas de nulle part.

Je ne vous ferais pas croire que je vous parle « Hors Sol ».

 

 

ça y est.

Le premier ministre à parlé.

Pour ne pas dire grand chose. Sortie du confinement le 11 Mai ?

Non le 11, Mais... si tout va bien.

Dans certaines zones, pour certains zenfants ..etc.

Plus besoin d'aussweiss ? Non, sauf si..

Bref rien de bien nouveau.

Reprenons donc , notre recherche

 

 « Pourquoi suis je confiné ? »

 

Donc, Mr Macron élu avec 66,10% des voix et avec une majorité de Marcheurs à l'assemblée, se comporta dès son élection, comme si ces 66,10% adhéraient à son programme et transforma une victoire contre Le R Haine de Mame Le Pen, en plébiscite pour sa divine personne.

Materné depuis longtemps par sa professeure de Théâtre, il se prit, et continue de se prendre pour Jupiter.

En son temps, Mr Chirac, élu par 80% des votants contre Mr Le Pen( le père de sa fille) avait eu la même tentation, mais en politicien expérimenté, avait vite compris qu'on ne gouverne pas contre son peuple...surtout quand on l'aime, «  le peuple. »

« En même temps et ni droite, ni gauche », étant la base de sa philosophie, entouré de marcheurs,( souvent les seconds couteaux des anciens partis)dévoués à sa cause, ce chantre du nouveau monde, a vite mis le pays à feu et à sang, cassant avec méthode tout ce qui pouvait freiner l'appétit des financiers, des riches, du patronat, ces soutiens naturels.

Montrant par la même, que s'afficher ni droite ni gauche , c'est bien sur être de Droite.

Abolition de l'ISF,et diminution de 5 euros de l'APL pour les étudiants, , les mesures s’enchaînent symboliquement les unes aux autres,et dans le même sens.

Sur de sa toute puissance ,mais préparant sans le savoir, le terrain à ce qui va exploser le 17 novembre 2018 , l'arrivée des Gilets Jaunes.

Pour ne pas polémiquer , je ne prendrais comme chiffres que ceux du ministère de l'intérieur, dont on connaît la fiabilité(sic)

282000 Manifestants s'installent sur les ronds points pour dénoncer la mise en place d'une taxe supplémentaire sur le gaz oil à affecter à l'écologie,

que nombre de nos « élites » prendront pour la revendication principale, occultant, toutes les demandes sous-jacentes qui ne tarderont pas à prendre le relais de ce ras le bol des taxes.

Méprisant cette Jacquerie, notre président toujours imbu de son élection, décida de mater cette révolte, et d'ignorer le vrai malaise de la France d'en Bas, celle des « premiers de Corvée, » lui montrant qu'ils étaient capables de traverser la rue .

Jouant de la violence d'une police aux ordres, il pense faire cesser ces troubles.

Erreur funeste,trichant avec les chiffres des manifestants, tout doucement la pays s'installe dans la contestation et surprise il apparaît que le mouvement est soutenu dans l'opinion.

Les dégradations de l'arc de triomphe le 1 er Décembre, montrent la détermination des éléments les plus radicaux des GJ.

Prenant enfin conscience que ces événements sont en train de le déborder, et risquent de gêner le commerce, le président accepte enfin de tenir compte du mouvement que son ministre de l'intérieur, (je ne dirais pas son nom, pour ne pas dire de gros mots sur cette page)continue de minorer. Rejoint dans ce dénigrement du mouvement de la France périphérique, voire délaissée en cela par la presse télévisuelle, papier, et les grands intellectuels que sont les inénarrables Cohn Bendit et Goupil,Ex Soixante huitars, et Macroniens convaincus.

Bref dans un numéro de bonneteau de 10 Milliards d'euros, il pense avoir apaisé la colère des gilets jaunes. En fait il a lâché du lest au profit des petits et moyens salaires , et des moyens retraités, avec des mesures destinées à s'acheter une paix sociale.

Mais les plus pauvres d'entre nous n'y trouvant pas leur compte restent sur les ronds points et dans la rue.

Macron découvre qu'il n'est pas facile de faire rentrer le dentifrice dans le tube une fois qu'il en est sorti... !!!

 

Et la situation perdurera ,jusqu'à ce que la réforme des retraites voulue par le gouvernement n'apparaisse sur le devant de la scène., Nous en parlerons demain

Con..finement ,mes questions 7

26/04/2020

Con..finement ,mes questions 7

Lla situation à ce jour, 26 Avril 2020

 

461 nouveaux cas confinés

Total : 124575/ Monde 2 897 941

152 Nouveaux décès

Total:14202/Monde 202846

 

0 nouvaux cas en réanimation

0 nouvelles hospitalisations(28217)

309 nouveaux patients guéris

Total 44903/ Monde 816685

 

Que c'est il passé en mars ?

Des déclarations

5 Mars Entretien mme Sybeth n'Dyaye/mme Martichoux


Merci beaucoup d'être sur LCI ce matin. Le coronavirus, ce jeudi matin la France est toujours au stade 2, il est peu probable que nous échappions au stade 3, c'est vous-même qui l'avez dit hier. Un, est-ce que c'est inévitable, vous confirmez, et deux, est-ce que c'est une question d'heures ou une question de jours ?


…SIBETH NDIAYE
ce n'est pas une question d'heures évidemment, ce qui est important c'est que, quand il y a une épidémie qui progresse ,c'est de faire en sorte d'être prêts au moment où on arrive dans un stade épidémique, qui effectivement me paraît inévitable

LIZABETH MARTICHOUX
D'accord, donc ce sera au cas par cas, vous continuerez un peu à faire au cas par cas.

SIBETH NDIAYE
Il y a du cas par cas, évidemment, mais ce que je veux aussi dire c'est que, dans un stade 3, vous savez, on ne va pas arrêter la France. Notre pays est un pays qui est solide…

ELIZABETH MARTICHOUX
D'ailleurs, la limite de 5000 personnes au-delà de laquelle on ne peut pas se rassembler, elle ne va pas baisser pour l'instant ?

SIBETH NDIAYE
Non, on n'envisage pas de la baisser, sauf dans les endroits où il y a vraiment une circulation active du virus, comme dans l'Oise par exemple, où on a interdit tous les rassemblements collectifs.

ELIZABETH MARTICHOUX
La Vie ne s'arrêtera pas ?

SIBETH NDIAYE
La vie ne s'arrêtera pas…

ELIZABETH MARTICHOUX
Est-ce que c'est un arbitrage du gouvernement, ça Sibeth NDIAYE ?

SIBETH NDIAYE
Mais non, ce n'est pas du tout…

ELIZABETH MARTICHOUX
Est-ce que vous avez arbitré sur les contraintes en vous disant finalement nous on veut, par exemple, que la vie économique continue, dans l'intérêt des Français, et donc on va décider qu'à ce stade 3, eh bien finalement il y aura le moins de contraintes possibles, est-ce que c'est un arbitrage ou pas ?

SIBETH NDIAYE
Alors, en fait, le gouvernement, vous savez, suit des préconisations scientifiques et sanitaires, donc on ne se lève pas un matin sur un coin de table avec Edouard PHILIPPE et Olivier VERAN en se disant nous ça nous arrangerait plus que ce soit comme ci ou comme ça, on suit des préconisations scientifiques. Je voudrais dire deux choses. La première c'est que, chaque année, en France, il y a une épidémie de grippe, cette épidémie de grippe elle touche 2,5 à 3 millions de personnes, elle fait malheureusement plusieurs milliers de décès chaque année. Aujourd'hui on a plus de décès, en France, de la grippe, que dans le monde, du coronavirus. Ça ne veut pas pour autant dire que je minimise ce qu'est le coronavirus

ELIZABETH MARTICHOUX
Les élections municipales seront maintenues, c'est toujours la ligne ?

SIBETH NDIAYE
C'est toujours effectivement notre objectif, faire en sorte que les élections municipales soient maintenues, il n'y a pas de raison de les annuler, évidemment je comprends qu'il y ait de la peur, que les gens se disent est-ce que c'est une bonne idée d'aller dans un bureau de vote ? dans un bureau de vote vous y passer peu de temps, vous pouvez vous laver les mains au gel hydro-alcoolique, avant et après, faire tous les gestes qui font qu'on peut parfaitement aller voter en toute sérénité.



On voit toute la clairvoyance de Mme la porte parole, d'un gouvernement qui navigue à vue.



6 mars

La politique par l'exemple ? Vendredi 6 mars 2020, le président de la République Emmanuel Macron et son épouse Brigitte ont été vus en sortie au théâtre, à Paris. L'occasion de montrer aux Français qu'en dépit des mesures prises contre les grands rassemblements de personnes, la vie continue.



 

Etc Etc Etc,

 

j'arrêterais là , le rapport chronologique des faits ,des dates des chiffres pour en revenir à ma question de base

 

Pourquoi  est on confiné ?

 

en vertu du principe de précaution ? C'est évident.. 

une précaution face à quoi, à une épidémie ? C'est évident.

Une Pandémie est même plus juste.

Le Confinement était il évitable ? Peut être ,mais comment ?

La pandémie était elle évitable. ? Peut être .

Mais dans ce cas des pays, s'en sortent ils mieux?

Oui, à des niveaux différents.

Pourquoi ? Est ce que les décision prises ont été les bonnes ? C'est toujours facile de réécrire l'histoire . Mais la France était elle prête à affronter ce genre d'attaque ? Il semble que Non. Pourquoi ? Que manquait il ? Quelle était la situation de la FRANCE de 2019 ?

 

 

Demain j'essaierais de répondre subjectivement à ces questions.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Con... Finement, mes questions 6

25/04/2020

Con... Finement, mes questions 6

amedi 25 Avril 2020

 

 

 

Chapitre 3

 

Chronologie du développement de la pandémie

 

Chine



Décembre 2019

Le premier cas de Covid-19 a été détecté à Wuhan le 1er décembre 2019

Des médecins chinois donnent l'alerte sur un nouveau virus inconnu qu'ils nomment 2019n-CoV mise sous silence par le gouvernement chinois qui espère régler cette affaire en interne mais il s'avère que ce virus ressemble à l'épidémie du SRAS ayant surgi en 2002-2003 en Chine également et qui avait été assez meurtrier.

Le virus se propage rapidement sur tout le territoire chinois

Janvier 2020

  • Dans les premiers jours de janvier l'OMS finit par être alertée sur le virus. Les gouvernements, dont celui de Chine, n'y font pas trop attention.

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  • 15 janvier : Japon, le premier cas est d'une personne venant de Wuhan.

  • 22 janvier : Taïwan déclare l'apparition d'un premier cas : une ressortissante taïwanaise revenue d'un séjour à Wuhan.

  • 23 janvier :

  • 24 janvier : en France, les trois premiers malades sont annoncés : deux à Paris et un à Bordeaux. Ces trois patients chinois avaient séjourné à Wuhan.

  • 25 janvier : Canada, le premier cas est déclaré,l'homme aurait visité la ville de Wuhan quelques jours avant de contracter le virus.

  • 28 janvier :

  • L'Allemagne fait savoir qu'elle a observé un cas de contamination inter-humaine sur son sol.

  • l'Italie déclare avoir deux touristes chinois atteints du virus sur son territoire

  • l'OMS se résout à déclarer l'état d'urgence de santé publique de portée internationale :

    31 Janvier:

  • rapatriement en France de 220 Français résidents à Wuhan par avion(suivis de 28 autres en Février)

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Février 2020

Europe et reste du monde

9 février :

onze cas répertoriés en France, dont cinq britanniques en séjour aux Contamines-Montjoie (Haute-Savoie),

  • 11 février :

  • deux nouveaux confirmés en Allemagne, soit seize dans ce pays, plusieurs ayant été contaminés en Allemagne en différentes circonstances.

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  • le professeur Gabriel Leung, président de la faculté de médecine de l’université de Hong Kong, déclare : Si le confinement de la Chine ne marche pas, il faudra faire face à la vérité : le coronavirus pourrait être impossible à contenir... [...] en considérant que chaque personne atteinte par le virus le transmettra en moyenne à 2,5 autres individus, ce sont 60 % de la population mondiale qui pourraient être atteints si l’épidémie n’était pas contrôlée.

  • 15 février : en France, premier décès hors d'Asie, et donc le premier d'Europe ; un touriste chinois, octogénaire,

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  • 16 février : Démission surprise d'Agnès BUZYN, ministre de la santé, qui s'en va remplacer Benjamin GRIVAUX dans la conquête de la mairie de Paris.

  • (une démission assimilée rétrospectivement à une désertion)

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  • 19 février :

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  • le cap des deux mille morts est franchi en Chine.

  • 20 février :

  • deux anciens passagers du Diamond Princess sont déclarés morts au Japon45.

  • 21 février :

  • en Italie, premier décès d'un Européen ne s'étant jamais rendu en Chine. Dix-huit villes de Lombardie et une de Vénétie interdisent l'accès à leurs lieux publics Dix-neuf cas déclarés.

  • L'Italie déclare trente-deux cas supplémentaires et un deuxième décès ; elle atteint désormais 51 cas.

  • 23 février :

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  • l'Italie annonce la mort d'un troisième patient et plus de 100 nouvelles personnes infectées. Avec près de 150 cas avérés, l'Italie est le pays d'Europe le plus touché par l'épidémie.

  • en France, le ministre de la santé, annonce "l'activation" de 70 hôpitaux afin d’en avoir au moins un par département en métropole, 70 sièges de Samu deviennent ainsi associés aux 38 CHU mobilisés.

  • 24 février :

le nouveau ministre français de la Santé Olivier Véran annonce dans la soirée qu'il n'y a plus aucun patient hospitalisé ni de malade identifié en France?????????????????

  • 25 février :

  • deux nouveaux cas détectés en France alors qu'il n'y avait plus aucun malade hospitalisé la veille au soir. ??????????????????

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  • l'Italie enregistre son onzième décès,

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  • Premier français mort de cette épidémie, dans la nuit du 25 au 26 février à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière à Paris, un enseignant à Crépy-en-Valois dans l'Oise âgé de 60 ans qui ne s'était jamais rendu dans une zone d'exposition à risque.

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  • 26 Février 2020, le match de foot Olympique de LYON, Juventus de Turin permet à 3000 supporters italiens de rencontrer les supporters Français(sic)

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  • vingt cas supplémentaires sont enregistrés en France en l'espace de 24 heures, faisant passer le nombre de patients ayant bénéficié d'un test et infectés de 18 à 38 personnes.

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  • L'auteur chilien Luis Sepúlveda est hospitalisé à Oviedo, en Espagne. Lui et son épouse, la poétesse Carmen Yáñez, sont diagnostiqués positifs au COVID-

  • 28 février :

  • la France enregistre 57 cas, soit 19 de plus que 24 heures auparavant. 18 de ces cas sont localisés dans l'Oise.

  • 29 février :

  • la barre des 100 cas est atteinte en France, elle est annoncée par Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, à 19 heures

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  • les États-Unis enregistrent leur premier décès sur leur sol. Il s'agit d'une patiente d’une cinquantaine d’années morte dans le comté de King dans l’État de Washington.

  • MARS 2020

A partir de Mars je ne mettrais que les grandes dates, laissant au professeur SALOMON, la diffusion des chiffres, graphiques etc...

Ceux ci sont si nombreux, qu'on leur fait, dire , tout et son contraire.

Il n'est pas anodin de constater, qu'on est à ce moment, à 6 Jours de la promenade de Mr et Mme MACRON au théâtre, à 15 Jours des élections et qu'à ce moment la pandémie se repend déjà comme une traînée de poudre...17 Jours plus tard nous serons en GUERRE Sanitaire,le lendemain vous serez considéré comme un voyou en ne respectant pas les consignes d'un gouvernement qui a fait de la communication et non de la prévention... Dont Acte